NVIDIA a délibérément limité les stocks et autorisé des bots à gonfler les prix au-delà du MSRP sur le marché secondaire.
De nombreux GPU RTX 50 présentent des défauts matériels, notamment des ROP manquants et des connecteurs d’alimentation susceptibles de fondre.
La conception du connecteur 12VHPWR de NVIDIA est jugée dangereuse en cas de mauvais branchement, car elle ne surveille pas continuellement le courant.
NVIDIA verrouille les utilisateurs avec des technologies propriétaires (CUDA, DLSS, G-Sync, NVENC) peu compatibles avec d’autres matériels.
La compatibilité vers l’arrière a été dégradée, notamment avec la suppression du support PhysX 32 bits sur les nouvelles cartes.
DLSS et la génération de trames produisent une qualité d’image floue et des performances artificielles malgré leur mise en avant.
NVIDIA intimide et conditionne les médias à adopter son discours sous peine de perdre l’accès aux cartes de test.
En l’absence de concurrence de haut de gamme, NVIDIA exerce un quasi-monopole se traduisant par des prix élevés et peu d’innovations réelles.
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