Séquençage du premier génome complet d’un individu égyptien de l’Ancien Empire daté entre 2855 et 2570 av. J.-C.
L’individu présente environ 78 % d’ascendance néolithique nord-africaine (Maroc) et 22 % d’ascendance néolithique mésopotamienne.
Preuve de migrations humaines entre l’Égypte et le Croissant fertile durant le Néolithique, au-delà des échanges culturels.
L’inhumation en pot dans une tombe taillée a permis une préservation exceptionnelle de l’ADN ancien.
Analyses isotopiques indiquent qu’il a grandi dans la vallée du Nil et suivi un régime omnivore à base de céréales et de protéines animales.
Comparaisons avec des génomes postérieurs et modernes montrent une continuité locale et des apports supplémentaires d’ascendances levantines et sub-sahariennes.
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